ps : écrite totalement par moi
Le « grand froid », c'est comme ça que l'on appelait cette saison à cause de ce froid intense qui enveloppait les bois, les champs et les habitations qui sont surplombées d'un mince rideau de neige d'une quinzaine de centimètres. Dans les bois et les champs, rien ne trahissait le silence . Aucun bruit à part la neige qui tombe et le bruit du vent qui mugit. Il émergea de la forêt, il était suivi. Il ne sentait plus ses pieds même s'ils étaient à l'abri du vent dans ses bottes. Il peinait à se débarrasser de la neige qui collait à ses cheveux.
Derrière lui, un grand cri surgit, suivi d'une phrase qui lui fit froid dans le dos. « Rattrapez-le » disait-elle. Il avait du mal à avancer dans la poudreuse. Il pensait cette phrase pour se réchauffer et se forcer à continuer « le monde est entre tes mains » Il longeait les champs jusqu'à une ville appelée Arkhangelsk comme l'indiquait la pancarte en Russie très au Nord. « Encore une centaine de mètres » se disait-il. Il était à une vingtaine de mètres de la ville quand il tomba.
Il essaya de se relever, peine perdue. Il était trop épuisé pour bouger. Il se sentait sombré quand il entendit des chiens sans doute lancés à sa poursuite. C'est alors qu'il se rappela une phrase que lui disait son petit frère quand il jouait entre eux à la guerre
« Je suis trop jeune pour mourir ». Et c'était vrai. Il n'avait que 19 ans. Il devait continuer sa route jusqu'à la ville où l'attendait « espérait-il » ses amis. Il se leva avec la force qu'il lui restait. Il marcha les derniers mètres qui lui restait pour atteindre la ville. Il se releva sur la neige, en creusant un petit trou il découvrit du goudron qui lui rappela sa petite ville française où il avait vécu s'est 16 premières années. Malheureusement la ville où il était arrivé était gigantesque, il y avait environ 400 000 habitants. Où trouver ses amis.
L'homme désespérait, le seul moyen de retrouver un peu d'espoir était de se dire que l'homme et les soldats ( s'ils en étaient, ils étaient plutôt une sorte de gangsters qui n'obéissaient que pour l'argent) qui le cherchaient n'oseraient pas laisser les chiens de peur de ne réveiller la ville tout entière. Sa seule solution était de sonner à une porte pour que l'on lui ouvre et qu'il puisse se cacher mais ils le retrouveront bien un jour ou l'autre, l'homme en particulier qui le cherchait n'était pas pressé de l'avoir tant qu'il ne gêne pas ses plans ce qui était le cas en ce moment.
Il voulait donc le voir mort ou vivant avec les objets qu'il avait. Il allait frapper à une porte quand un petit bruit attira son attention. Plus ça se rapprochait plus ça devenait fort comme un cri dans la nuit noire il reconnut alors les voit de ses amis. Il était sauvé mais les ennemis arrivaient. Il n'avait plus la force de courir ni de marcher, il se mit donc à 4 pattes dans la neige et commença à marcher vers les vois de ses amis.
Quand il atteignit le coin de la rue, il vit ses amis à 300 mètres de lui, il continua d'avancer en les appelant il n'avait vraiment plus de force et il marchait d'un pas si lent; il était tout près et ses amis arrivaient en courant quand il entendit une voie très proche qui dit « nous le tenons » alors à ce moment-là il sentit ses dernières forces l'abandonner et il sombra dans l'évanouissement.
et voila la suite tout les 2 ou 3semaines et n'oublier pas de mettre un petit j'aime
Modifié par florent612, 11 février 2014 - 16:33 .